Info ou intox : le revers de la surcharge informationnelle

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Lorsqu’on reçoit une information, il faut savoir contrôler ses sources pour savoir si c’est fiable. Dans cet article, on va se concentrer sur la surcharge informationnelle.

La surcharge informationnelle est un fait

Appelée également infobésité, elle met sous pression les personnes qui prennent en charge un grand nombre d’informations.

La surcharge informationnelle est un avantage puisque vous aurez les moyens d’avoir encore plus d’informations. Ce concept regroupe l’excès d’informations traitées par une personne sans affecter son activité.

La différence entre donnée et information

L’information donne la réponse à une question dont vous vous posez. Tandis que la donnée est un élément de réponse d’une question.

La raison de la surcharge de données

Le succès des blogs comme source d’information est un parfait exemple. En effet, il y a tellement d’informations qu’on ne les maîtrise pas toutes.

Les solutions efficaces contre la surcharge informationnelle

Les solutions individuelles

Le facteur humain est primordial contre la surcharge d’information. La solution la plus efficace est la maîtrise des habilités informationnelles, surtout pour les étudiants qui baignent dans l’environnement d’information de masse, d’infobésité et de sérenpidité.

Les solutions technologiques

Puisque la problématique de l’infobésité est de réduire les informations inutiles par rapport aux plus pertinentes, voici des techniques de filtrage :

Il y a les métadonnées spécialisées dans la description des contenus. Leur prise en compte par les moteurs de recherche aide à trier les données et à enlever les informations parasites. Ensuite, il y a les agents intelligents qui sont des robots autonomes efficaces que les moteurs de recherche concernant le filtrage d’information. Ils s’adaptent au niveau de connaissances de l’utilisateur. On peut aussi parler de la cartographie qui représente clairement l’information sous forme de carte et met en évidence les faits majeurs.

Enrichissement par l’humain

Cela implique plusieurs choses. Communiquer avec les autres et être capable d’émettre un signal capté par toute personne maîtrisant un sujet quelconque. Il nécessite également que les individus s’organisent pour un temps de réflexion pour confronter les données et les opinions.

Surcharge informationnelle : recueil d’informations jusqu’au traitement

Cette notion prend en charge trois aspects bien distincts: informationnelle, communicationnelle et cognitive. La considération de la notion de surcharge informationnelle est déjà très connue. Surtout du point de vue de la théorie de la décision, elle s’analyse comme étant un volume d’informations pour agir sur la meilleure décision.

Cependant, elle puise sa source dans deux phénomènes différents, mais complémentaires. On peut compter l’augmentation constante du volume d’informations à traiter. Il y a beaucoup d’informations inutiles. En outre, cette surcharge peut provenir de la qualité des informations reçues, amenant plus à consacrer plus de temps à la recherche de renseignement pertinent.Le raccourcissement des délais de traitement est aussi considéré comme un aspect de la surcharge informationnelle.

Surcharge communicationnelle

Le système d’information engendre plusieurs avantages. En effet, la multiplication des échanges est synonyme de surcharge informationnelle. Par exemple, le traitement des courriels est une perte de temps supplémentaire. Comme dans une entreprise, cela augmente le nombre de messages reçus qualifiés d’inutile. Si le courrier électronique est une source de surcharge informationnelle, d’autres technologies prennent en charge un flux d’informations.

Disponibilité de l’information en temps réel

Dans une entreprise, le processus de la disponibilité de l’information doit être instantanée grâce à l’utilisation des outils d’informations. Ces derniers doivent être accessibles pour que les salariés soient sur le même pied d’égalité au niveau informations. Prenons par exemple le cas des messageries instantanées, qui démontrent bien la surcharge d’informations, mais qui est disponible de suite. Les différents méthodes de les traiter définissent si on les maîtrise ou pas.

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